Editions du Bug

LA QUEUE de Roland Thevenet
Un petit tour du web

Une uchronie réjouissante (Pascal Jourdana, Un livre par jour et La Marelle)

Un auteur qui sait ce qu'écrire veut dire. Et qui sait regarder le monde en face. (Frédéric Chambe, Alexipharmaque)

C'est en nous interrogeant sur notre attente et notre capacité à prendre pour argent comptant ce qu'on nous dit que le roman de Roland Thévenet fait mouche.
L'art de la queue, si l'on veut.
(Philippe Nauher, Off-Shore)

Le roman flirte alors avec la satire sociale, s’appuyant sur cet ajout d'appendice, au symbole tout aussi animal que phallique, pour faire l’inventaire de toutes les absurdités et des incohérences de notre temps. L’écriture est parfaitement maîtrisée, subtile, profonde. Tout est en place, les décors, les personnages, les réflexions. Roland Thevenet nous offre là un roman subtil et puissant, impeccablement ciselé.
(Stéphane Beau, Dilettante et Papivore)

La Queue est un vrai roman, une fable forte, une satire caustique qui dénonce les travers de notre époque.
(Jean Jacques Nuel, L’Annexe)

Plus on avance dans la lecture, plus on se prend d’affection pour ce livre de B. Thévenet qui pose des questions existentielles et qui offre des réponses provisoires, très vite dépassées et sans cesse remises en cause.
(Jean François Foulon, Marche Romane)

On pourrait rapprocher La Queue de Soumission, le dernier roman de Michel Houellebecq, s’il n’était entre eux une différence radicale. Chez Houellebecq, le protagoniste narrateur, prototype du nihiliste, finit par se soumettre à la république islamique; d’ailleurs, il ne se prend jamais pour un rebelle. Le personnage de Roland Thevenet, Félix Sy, est autrement plus complexe : il joue le jeu social en maître du jeu, il ne se soumet pas (Elisabeth Bart, Stalker)

La Queue de Roland Thevenet, par Élisabeth Bart

http://www.juanasensio.com/archive/2015/04/07/la-queue-de-roland-thevenet-par-elisabeth-bart.html#more

La Queue de Roland Thevenet, par Élisabeth Bart Photographie (détail) de Juan Asensio.

La Queue, Roland Thévenet

Une critique de Philippe Nauher sur La Queue :

La Queue, Roland Thévenet Ce qui intéresse dans un roman n'est pas forcément l'histoire. J'entends : cette forme molle que l'on peut résumer en une...

La Queue, on en parle...

La Queue, on en parle ► http://solko.hautetfort.com/archive/2015/03/10/la-queue-on-en-parle-5580278.html

La Queue, on en parle... La Queue, on en parle ICI & ICI ;& ICI;;

La Queue : un apologue postmoderne.
Le Silence des Chrysanthèmes : une autobiographie impure

LA QUEUE de Roland Thevenet dès le 30 janvier 2015.

- Ne vous sentez pas pour autant obligée de porter une queue, mademoiselle !

Félix Sy avait clos l’entretien d’embauche par cette remarque inattendue. Puis le vieillard long et maigre avait raccompagné Mélissa jusqu’au perron, sans même solliciter son aide pour descendre de l’étage. Appuyée contre le marronnier géant du square des Milliardaires, elle se demandait encore qu’en penser.

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LE SILENCE DES CHRYSANTHÈMES de Bertrand Redonnet dès le 30 janvier 2015.

Je sursautai. Un homme venait de faire irruption dans la chaude
pénombre de l’écurie. Le soleil au dehors calcinait les chaumes où rampaient des ronces et furetaient les mulots. Un homme massif, grand, portant de grosses moustaches.
- Aurais-tu des cordes, gamin ?
J’allais avoir douze ans. L’âge des premières frayeurs du corps et de la culpabilité permanente.
L’âge aussi où tout ce qui n’est pas soi-même est grand, gros et fort.

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