De la luce
Commentaires
Comme s'ils s'étaient donnés le mot, les papillons du matin sont venus habiller la fenêtre.
Agrippés à la ferronnerie, ils semblaient attendre fièvreusement l'ouverture des volets pour un envol immédiat & sauvage.
A moins que leur présence ne servait à empêcher l'ouverture de la fenêtre qui aurait laisser entrer un air, encore trop vif.
- aimer les papillons d'aimants -
Découverte et dégustation du MALAIGAO:
Spongieux à souhait, c’est la gâteau vapeur dont tout le Japon raffole. En provenance d’Asie du Sud-Est, il a été importé dans l’archipel à l’époque d’Edo (du XVII au XIX).
Farine de blé, oeufs, sucre, …, c’est un dessert très populaire. Peut-être le gâteau que les personnages de Miyazaki dévorent à pleine bouche et qui, à notre tour, nous donne envie.
{ sans laitage }
Une plongée dans l’enfance et la douceur.
Le nez collé à la vitre je me rappelle voir défiler le paysage. Trop vite mais d'une manière hypnotique: des champs, un poteau des champs encore, une route qui croise, un ruisseau qui s'éloigne et se rapproche à une vitesse f***e, des champs. Comme une somnolence. Un léger trouble.
Un sac, une robe ou des fleurs.
Oui des fleurs c'est sûr mais un chapeau aussi, enfin je crois et des gens dans un parc avec une statue sacrée ou l'inverse peut-être...
Je ne sais plus.
Mais j'étais bien.
- Merci à Fabienne pour ce qu'elle a vu et ce qu'elle nous fait voir & sentir -
Partage dont la presse, en l’occurrence ART & DECORATION se fait l’écho, dans le N° de mars.
Merci à ce magazine.
On partage à notre tour, leurs écrits.
Les pinsons aux mille couleurs les dévoraient des yeux, les lapins les chérissaient en les parant de roses fraîches...
En ces premiers jours de printemps, les sandales de cuir étaient l'objet de toutes les convoitises.
Un appétit de faune et de flore.
Il fallait partir vite.
Aux matines, l'air était encore bien vif.
Le jour pointait, faiblement.
L'eau était fraîche. Une toilette de chat.
Glacé. Bleui, on restait droit. On s'habillait en silence.
On avait promis des tartines...
La fraîcheur de la nuit et la rosée du matin très vite chassées par les téméraires rayons de soleil de Mars: il n'en fallait pas plus aux fiers boutons d'or pour les voir éclore & s'installer dans une cruche ancienne, pas plus aux roses pour venir habiller serviettes et torchons de lin.
Une éclosion de fleurs, tout aussi fragiles que conquérantes, délicates que vigoureuses.
Par la porte entre-baillée, des silhouettes d'un autre temps apparaissaient.
Petits gilets 1900 brodés aux boutons de verres grenat, broches cousues main, maroquinerie de cuir & de chaine, chapeaux pour voir sans être vues.
Plaisir.
Parfois les êtres s'en vont. Il nous reste un objet, une odeur, un souvenir, des images, des émois ...
Parfois les êtres s'en vont en Ford Capri, certainement, la radio chantant a tue-tête.
Bonne route et tant p*s pour les radars !
Avec tout cela, on n'en était plus bien sûr... et pourtant une sensation persistait, une idée revenait inlassablement: le Printemps s'invitait, à nouveau, avec toute sa vigueur et ses couleurs tendres.
Bientôt, manteaux, robes et jupes se paraient de Lui.
Tout en délicatesse mais avec force & élégance.
Bientôt et déjà aujourd'hui.
Bienvenue à Lui.
Bienvenue à Vous.
Bienvenue,
TENDRE VERS LA LUMIÈRE ✨
Une sélection d’articles & une mise en scène singulière. Paiement s

Il y a des coupes et des matières qui se posent. Intemporelles, elles nous rassurent et flattent nos silhouettes.
Se laisser faire et apprécier

Du doux, du chaud, du moelleux... le bain. Peignoirs & sorties de bain, savons & lotions, lavettes & brosses et des senteurs toutes en délicatesse. Quand le Japon répond à la Scandinavie.

DLL évoque Lewis Carroll...
Un bestiaire de plumes et de poils, un carrosse royal, une ÉNORME couronne, ... où s’arrête la réalité, où commence le Rêve ?
Vous ne savez pas ? ... Venez voir.

Être à l’heure.
Ce machin aux grandes oreilles n’a que ces mots à la bouche. Toujours plus vite. Ces maux à la bouche. Il va trop vite.
Mais ici, il a su ralentir sa course. Jusqu’à s’arrêter. Finalement. Pour regarder et ressentir. Se dresser et se nourrir.

Tendre vers le beau pour mieux in fine appréhender le vrai.
Les collections de vêtements que nous accueillons cette saison suivent cet énoncé.
De l’élégance, de belles matières, de la générosité, du soin, du style.
En toute simplicité.
En toute sincérité.
PLAISIR

Au sein même de la boutique, création d’un nouvel espace de prêt à porter: Collections Automne-Hiver 23.
Accessible sur rendez vous et invitation.

DE LA LUCE évoque Lewis Caroll
Nouvelle Installation : Vendredi 1er septembre
Au sein même de la boutique, création d’un nouvel espace de prêt à porter : Collections Automne-Hiver 23.
Accessible sur rendez vous & invitation.

Bols à thé dans des boîtes anciennes calligraphiées, vieux tissus de chanvre, de lin ou d’ortie, couleur du temps qui a passé.
Profondeur.
… le Japon dans toute son ancienneté.

La Brocante est magique pour les témoignages de vie que les pièces transportent avec elles.
Qu’elles soient du XIX°, du XX°, qu’elles soient de bois ou en terre cuite émaillée, en porcelaine ou en washi, la brocante se fait l’écho de l’Humanité, universellement, en France tout autant qu’au Japon.
PARTAGE
{ Kokeshi dodue, bois peint, raviers en terre craquelée, bol ancien émaillé // JAPON }

Du temps.
Beaucoup de temps.
Il a fallu de longues semaines pour que les trésors chinés au Japon, l’hiver dernier, touchent les côtes françaises et atteignent leur destination à Montpellier.
Mais Hito san, le gardien de Brocante est resté calme et serein.
Sûr et déterminé, il a mené à bien cette expédition, guidant les nombreuses autres pièces jusqu’à nous.
A votre tour, soyez les bienvenu(e)s !

Bonjour,
Camille, Shinobu san, Lisa et Lisa san, Solange, Yumi san, Paul, Miyuki san, Madeleine, Zoé, Mariko san, Nadia, Akiko san, Maurice, Yuki san et Olivier...
Nous tous, en somme, vous souhaitons un Joyeux Noël et de Bonnes fêtes.
Ps: un énorme merci pour votre fidélité envers De La luce.
Que 23 soit Lumineuse.

Sur le marche-pied de St Lazare on avait déposé nos bagages. On attendait le train.
« L’attente pourrait être longue » nous avait-on prévenu.
Soit.
En revanche, on le savait Noël n’attendrait pas!

Les orchidées étaient encore sous le givre du petit matin.
Deux silhouettes étaient là. Comme d’un autre temps.
Une élégance simple. Un soin familier, comme un sentiment rassurant et englobant.
Un baume, en quelques sorte.

Une pluie drue.
Les souliers préférés devront attendre des cieux plus cléments pour être de sortie.
En attendant, on les bichonne.

Le voyage était prévu de longue date. Pas les flocons.
Le train aura du re**rd. Le trajet sera long. Le sac de voyage à portée de main non loin du Thermos de café.
Prendre le train à travers la plaine.

Descendre en ville pour la journée.
Il fait clair mais les températures ne grimpent plus beaucoup: la laine s’impose.
Une veste, un pantalon bien coupés. Un grand sac de cuir.
Profiter du jour.
De l’air frais.
De la lumière.
De la luce.

Après conciliabule,ils ont décidé: DE LA LUCE sera ouvert tous les jours jours jusqu’à Noël, dimanche et lundi inclus.
BIENVENUE !

La perruche se mire.
Une allure assurée, un plumage lissé et flamboyant.
Elle se mire.
A moins qu’elle ne soit passée de l’autre coté du miroir.
Un reflet, un mirage.
Une vision, une illusion.
Parfois, comme si la réalité s’étiolait.

Il y a queques jours de cela, une mamie de Sommières est venue nous trouver, visiblement troublée.
Emue d’avoir vu: « les rideaux de ma grand-mère suspendus là-bas, dans une de vos pièces. Les rideaux sont toujours dans sa chambre d’ailleurs. Rien n'a changé dans sa chambre. A part le lit que j'ai du me résoudre à changer car les gens sont plus grands maintenant. »
Merci Mamie pour ce moment de partage.
Toutes les grands-mères étaient à ce moment-là dans la pièce, avec nous, j’en suis sûr.
Je les ai ressenti.

Installation°25: La semaine fut quelque peu rude, longue pour le moins.
De l’eau, des fleurs, des senteurs délicates, des nuages de vapeur, la ouate d’une serviette englobante.
Pour se retrouver.
Se soigner.
S’aimer.
Accueillir le week-end.

Installation°25: En cette fin d’été, le Rouge était de sortie.
Rouge des Baies pour les chapardeurs graciles, Rouge de velours pour les chaussants des élégantes, Rouge de coton pour les pieds sensibles & exigeants.
Le Rouge après un si long bleu…,
Comme pour nous rassurer et nous inviter à reprendre conscience de soi.
Rouge journée.

Installation°25: A Table !!!

Il était dit qu'en somme, peu importait d’avoir ou pas la foi. Seule l’élégance du corps et de l’esprit comptait.
Et cette double silhouette l’avait bien compris.
Un style soigné pour choyer son âme.

Samedi 10H00.
Les bols sont encore vides.
Néanmoins, d’après l’animation joyeuse que l’on perçoit de la cuisine, les plats sont en train de naître sous les mains expertes des 3 mamans nippones: Miyuki san, Yumi san & Shinobu san.
Ca mitonne, ca découpe, ca discute, et surtout ca rigole !!!
La cantine bruisse.
Les appétits s’ouvrent.

Elles étaient toutes là.
Toutes Les fleurs de velours. Sur les manches, le col, près des boutonnières, sur tout le manteau.
Toutes à venir voir au plus près, la plus belle d’entre elles: un renoncule d’or et de perle.
Communion florale.

Le 1er Septembre, la Boutique rouvre: COLLECTIONS A/H22
Le 1er Septembre, le Salon de thé devient aussi une Cantine japonaise.
BIENVENUE !


« Kino le Grand » a parlé du haut de son chalet d’ermite.
« Tout Août, fermés le Salon de thé et la Boutique DE LA LUCE seront.
Surprises et aménagements gourmands en Septembre arriveront.
A Toutes et à Tous, un bel été, je souhaite
Et que la fraicheur soit avec VOUS. »
Le Suprême Kino
NDLR: Ermite pt être, fan des Jedi certainement le Kino !
Bel été
DE LA LUCE

Les Petits Esprits de la Princesse Mononoke se sont échappés !
Certains se seraient posés au salon de thé, sous la protection d’une Kokeshi et de Miyuki san.
Ils sont adorables et infiniment tendres.
Un goût intense, de la forêt nippone.

…. Arriver à faire une rangée de 4 pions de même couleur soit horizontalement, soit verticalement ou encore en diagonale, sans au préalable gouter ni le fondant au matcha ni son jumeau au chocolat noir & yuzu…. Ce n’est pas simple.
Surtout quand on sait que le fondant a un coeur très, mais vraiment, très fondant !
Juste essayer !
Bon appétit !

Attention ! Les hérissons-brioche sont de sortie au salon de Thé.
Ils vont dévorer toutes les fraises à moins d’être dévorés avant.

Installation°24: Poursuivre le Partage
Une croix en jeu d'ombres, un homme de foi au dessus de la mêlée, une vierge éplorée et les 3 mousquetaires tout en plumes.
A. Dumas revisité ce printemps 22.
Demandez le programme !

Installation°24: Poursuivre le Partage.
Une peinture dans un cadre, une photo, comme dans un film, un simple effet de miroir dans lequel venaient se refléter avec facéties, les affaires du bain.
Parfois, ne pas savoir convient.
L'émotion et le trouble s'invitent.
Emoi.

Installation°24: Poursuivre le Partage.
Extrait de violette, musc, encens & myrrhe, cardamome ou gardenia... tout un monde, à chaque fois, dans les flacons de parfum de la tante Miguette.
A chaque odeur correspondait une histoire. Des heures à écouter des anecdotes. A re-vivre des moments. A re-sentir au plus profond de soi.
Plongée olfactive.

Installation°24: Poursuivre le Partage.
C'était comme si, dans un rêve.
C'était comme si, on entrait à nouveau dans une demeure des années '50, fermée dans la précipation.
Les pièces sont restées en l'état. Les objets n'ont pas bougé. Les silhouettes figées dans l'attente, comme si la maîtresse de maison allait surgir de la pièce d'à coté.
A coté ou au travers.
Des images se chevauchaient laissant apparaître ici un manteau, là un chapeau, une paire de sandales, là encore une armoire gorgée de soie et d'étoles.
Un moment suspendu.

Installation°24: Poursuivre le Partage.
La veille au soir, disposer sa tenue sur un mur de roses écloses.
Choisir le sac assorti et ne pas oublier le chapeau car le soleil sera se montrer généreux à n'en point douter.
Cela laisse augurer une belle journée, tout en senteur poudrée.
A demain !

Installation°24: Poursuivre le Partage
Comme s'ils s'étaient donnés le mot, les papillons du matin sont venus habiller la fenêtre.
Agrippés à la ferronnerie, ils semblaient attendre fièvreusement l'ouverture des volets pour un envol immédiat & sauvage.
A moins que leur présence ne servait à empêcher l'ouverture de la fenêtre qui aurait laisser entrer un air, encore trop vif.
- aimer les papillons d'aimants -

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Découverte et dégustation du MALAIGAO:
Spongieux à souhait, c’est la gâteau vapeur dont tout le Japon raffole. En provenance d’Asie du Sud-Est, il a été importé dans l’archipel à l’époque d’Edo (du XVII au XIX).
Farine de blé, oeufs, sucre, …, c’est un dessert très populaire. Peut-être le gâteau que les personnages de Miyazaki dévorent à pleine bouche et qui, à notre tour, nous donne envie.
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Mais j'étais bien.
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