La Vina Galerie-Café

Vendredi 6 septembre, vernissage de l'exposition de Claire Boulnois, venez nombreux!

Demain soir à Arles, à partir de la fin de l'après-midi Nuit de la Roquette, dont il faut féliciter et remercier les organisatrices et organisateurs, et dont le thème est cette année: "Ça pousse!" Je projetterai Citizen Trees (the 5th Elements), un voyage traversant les civilisations et suivant les villes, les arbres, les hommes, les sages et les saints et explorant ou implorant les trois mondes: nos Racines, notre Terre, notre Ciel. Bienvenu-e-s, c'est entrée libre, dans l'école Marie Curie, 16 rue Laurent Bonnemant.
Le programme est là:
https://www.thegoodarles.com/good-time-agenda-sorties-et-evenements-pays-d-arles/nuit-de-la-roquette-arles/

Une très belle exposition depuis hier à La Vina: Greendeco: bois et pierres transformés en lampes, de Pascale Gautier. Chaque oeuvre est une méditation sur le temps, la vie, la matière, à travers les fibres ou les cercles des souches, les branches et rameaux, les cristaux et quartz qui semblent nous regarder depuis le fond des âges, parfaitement présents et avec une touche de science-fiction, puisque ce sont eux précisément qui comptent la durée au cœur même de nos machines les plus modernes. Noblesse et simplicité de ces représentants des royaumes végétal et minéral, qu'une petite lueur sublime comme le vitrail de la grande cathédrale de la Nature. Un voyage à découvrir pourquoi pas pour le vernissage qui aura lieu vendredi 28 à 18h.

Patrik Delabi est artiste peintre et espérantiste. Demain vendredi à 18h, vernissage de son exposition intitulée Étoiles et Grimoires. L'étoile verte est le symbole de la langue espérantiste, et les mots grammaire et grimoire - et glamour - ont la même étymologie: un usage des signes pour faire émerger la magie de l'image.

Vous êtes les bienvenus au décrochage de l'exposition New York, vendredi 17 mai à 18h. Mais l'expo est encore visible samedi, dimanche et lundi.

La Vina défend les cultures et les citoyens du monde et est fière de publier le dernier recueil de Mohamed Aouine: Les étoiles s'allument la nuit. Nous lui souhaitons un franc succès!

L'Expression: Culture - «Je suis façonné par notre langue amazighe» Mohamed Aouine est poète, auteur de nombreux livres dont le dernier, «Les étoiles s’allument la nuit», vient de paraître aux éditions de La Vina. Originaire d’Azeffoun, il vit à Grenoble où il gère une librairie qui abrite régulièrement des cafés littéraires. Le dernier a été déd...

Dans le deuxième volume de L'art gréco-bouddhique du Gandhāra1, Alfred Foucher présente une double illustration : un Christ gréco-chrétien à côté d'un Bouddha gréco-bouddhique. Le Christ est un fragment de sarcophage d'Asie Mineure, pris par un certain Strzygowsk, tandis que le Bouddha a été photographié au musée de Lahore (Pakistan). Le Christ et le Bouddha ont la même position du bras droit à l'intérieur de la robe qui a les mêmes plis, ils ont tous les deux une auréoleo.... Ils se ressemblent comme des frères. Mais cette page de Foucher n'est qu'une des manifestations les plus évidentes des relations entre le monde gréco-romain et l'Orient kushana. Le corps des statues était souvent taillé dans des ateliers de sculpture et la tête était ajoutée plus t**d. L'art du Gandhāra est la preuve la plus physique et la plus indéniable de ce qui s'est passé il y a deux mille ans et qui, avec l'art, a impliqué toute la spiritualité de deux continents, les conduisant vers des religions qui placent l'amour et l'empathie au-dessus de toutes les autres valeurs.
Nous devons remercier l'art, encore une fois, et les artistes, pour ce qu'ils ont laissé et laisseront encore, pour contredire tous ceux qui, par des révélations religieuses ou des révolutions politiques, décrètent régulièrement une année zéro de l'Histoire et veulent effacer les livres et les mémoires, séparer les corps et les âmes, réécrire à leur guise un monde qu'ils tentent de contrôler, en oubliant - ou plutôt en se rappelant - que l'art, en un instant, enseigne plus que d'innombrables catéchismes. François-Marie Périer, extrait de La Porta Stretta e il Grande Veicolo.
références: L'art gréco-bouddhique du Gandhāra. Étude sur les origines de l'influence classique dans l'art bouddhique de l'Inde et de l'Extrême-Orient, 2t. P 777 [t. 1 1905 t.2 1918 Paris

https://archive.org/details/lartgrcobouddh02foucuoft/page/777/mode/1up?view=theater

L'exposition Phénix City est en place à la Vina, à l'occasion des 500 nas d ela découverte de la baie de Manhattan par Giovanni da Verrazzano, navigateur florentin pour François Ier: Renaissance et cycle du Phénix qui s'immolait sur son bûcher et renaissait tous les 500 ans.

Bonjour à tous,
venez nombreux jeudi à 18h30 à Terre D'étoiles pour la conférence sur le Carré Magique.
Une énigme qui nous a annoncé l'époque que nous vivons et qui a inspiré Christopher Nolan pour son film TENET.

`La Tourbe et le Feu, photographies d'Irlande à la Vina, par François-Marie Périer, un clin d’œil au passage à The Unforgettable Fire, https://www.qwant.com/?client=brz-moz&q=the+unforgettable+fire+fulla+lbum&t=videos&o=0%3APdupbfgtclw

Journée et soirée riche demain vendredi 8 mars: derniers jours pour l'exposition de Rodolphe Viragh, le Coeur du Ciel, à découvrir avec l'oracle des plantes de Brigitte Merendao réalisé avec l'artiste Marie-Laure Joubert, demain après-midi, et la soirée-lecture autour de la femme à 19h30 animée par Chloé Laroche. De la beauté, de la spiritualité, de la poésie!

Une exposition étonnante prolongée à la Vina jusqu'au 10 février dans le signe du Verseau, bien sûr! Jean-Michel Brouilly.

voici sans conteste l'exposition la plus originale, étrange et amusante depuis l'ouverture de la Vina, des images delooliennes pour un titre en synchronicité avec l'entrée de Pluton en Verseau, Aquarius, que j'ai spontanément trouvé sans savoir que le Verseau était précisément le signe de notre photographe, ancien garde forestier de son état, Jean-Michel Brouilly. J'espère vous avoir donné envie de jeter un coup d’œil et pourquoi pas une pièce pour ses œuvres dont les ventes iront à une association d'aide humanitaire après le séisme au Maroc.

TORINO 28 JANUARY FAITH FOR YOUR HOPE, AGAINST WORLD HEALTH ORGANIZATION AGREEMENT FAITH FOR EUROPE WITH EUROPEAN FORUM FOR VACCINE VIGILANCE PLEASE SHARE AND JOIN!

"A Nu", une exposition de photographies de 89 salles de bains, de Sèverine Deluc, artiste travaillant avec le cinéma, à la galerie La Vina et a les honneurs de l'Oeil du Photographe. Jusqu'au samedi 23 décembre à la Vina. Vernissage demain mercredi 20 décembre à partir de 17h30, venez nombreux!

Texte de Claire Lesage, conservatrice générale des bibliothèques pour Sèverine Deluc:

"Depuis tant d’années, je collectionne les salles de bains. Je les photographie. Leur série ne cesse de s’allonger en sous-séries. Comment les classer ? par taille ? style ? matières --bois, céramique, pierre, métal chromé ? avec ou sans do**he ? avec ou sans baignoire ? neuves ou vétustes ? pour célibataire ou famille nombreuse ? sobres et impeccables ou encombrées ?
Je sélectionne mes préférées, les indiscutables, et l’évidence est là : la couleur est le seul dénominateur commun, le critère pur, éloigné de tout jugement esthétique ou moral. Je repousse la tentation sociologique, je n’établirai pas une Physiologie des salles de bains. Je les classe par nuances et je peux maintenant faire défiler leurs images en rêvant sans fin.
D’où me vient ce goût ? Pour prendre ces photographies, j’entre dans le lieu le plus privé d’une habitation, qui comporte sa part d’ostentation (voyez ces savons parfumés sculptés en forme de rose, ces essuie-main d’invité aux galons brodés) : serait-ce du voyeurisme, l’envie de découvrir l’envers du décor, les secrets intimes insoupçonnables dans les salons ? S’imaginer des histoires, connaître les vies des autres ? Mais cet appétit romanesque, n’est-ce pas aussi l’envie de me projeter dans une vie autre, m’imaginer, moi, dans cette baignoire rose extravagante ou me lavant les dents en noir et blanc avant une journée remplie de rendez-vous ? La salle de bains, cocon chaud et parfumé, au seuil des jours inconnus et des nuits mystérieuses, le lieu où l’on se met à nu pour changer d’identité…
À considérer ma collection, l’univers de la salle de bains (« détente, soin, plaisir du corps ») comporte aussi ses sournoises tensions, trahies en muettes incongruités : combat entre l’intime et la représentation ; conflit entre le désir d’hygiène, de propreté, de rangement et le besoin de se rassurer en s’entourant d’objets familiers, de souvenirs et d’une myriade de produits dont on espère l’efficacité magique : crèmes lissantes, anti-rides, éclaircissantes, matifiantes, bronzantes, repulpantes, contour des yeux, contour des lèvres (jamais contour des oreilles), huiles, teintures… Même la salle de bains à la mode, fût-elle en outre épinglée « technique, design, harmonie », trahit par un menu détail l’humain qui s’y dénude.
Trêve de réflexions, je plonge dans mes images à défaut de leurs baignoires ou de leurs miroirs.
lavabo gris
carreaux de faux marbre rose
savons roses

miroirs en pied, en long, en large, en vis-à-vis
de quoi se voir sur toutes les faces,
jusqu’au terrible miroir grossissant
qui ne laisse aucune chance au poil, à la ride, au petit affaissement jamais encore remarqué, d’autant qu’on ne porte pas tellement ses lunettes, dans une salle de bain…

Militantisme du beige intégral –sol, murs, carreaux
Trahi par le rose vif du verre à dents, de la fleur de do**he et de son gel assorti

carreaux de toutes nuances et motifs de gris,
mais ils ont craqué sur les serviettes rose tyrien et bleu turquoise

dédoublée dans le grand miroir qui occupe toute la paroi de face, une collection faramineuse de bouteilles de parfum, symétriquement ordonnée autour d’un très banal réveil blanc, carré. Il fallait bien toute cette débauche pour faire oublier l’extrême marron vert des vasques.
le miroir au lourd cadre doré baroque n’en revient toujours pas de refléter ces deux ampoules nues pendouillant au bout de leurs fils électriques bleu et jaune –quand s’électrocuteront-ils ?

l’élégance de l’impeccable carrelage monochrome blanc à filet noir niée par le fil dénudé, son domino et son scotch, son avertissement illisible « NE PAS TOUCHER » (on devrait pourtant savoir, que le papier n’aime guère les salles de bains).

la folie des petits pots à ustensiles bien classés (dents / maquillage / ongles / ciseaux / cheveux)
le frisson quand le même pot accueille brosse à cheveux et à dents

au jeu de la symétrie parfaite ou cassée des lavabos doubles
tout compte

on y rencontre un grand peuple silencieux :
les peignoirs-fantômes
mais beaucoup plus inquiétant :
le fantôme du rideau de do**he

un autre jeu : chercher les motifs placés
toujours du règne végétal : fleurs, bouquets
d’ailleurs quelques plantes vertes leur répondent

de minuscules hexagones bleu vif
témoignent d’une conviction colorée

majestueuse salle de bains à l’ancienne,
ou bien
design strict quoique harmonieux
tous deux laidement contredits par l’armée incongrue de dizaines de produits d’entretien

dans un minuscule théâtre jaune poussin, un appareil antique et mystérieux :
toute l’inquiétante étrangeté des années Cinquante

les objets se livrent de sournois combats fantasmatiques :
Vénus ou pin-up
contre canards flotteurs jaunes
tous très légitimes ici

Madame a voulu une salle de bains très tendance,
noir et blanc graphiques
mais le meuble est envahi par un fouillis de colliers multicolores

Monsieur a été très strict sur le blanc (murs, meubles, vasques) et les petits carreaux noirs
mais le bord de la baignoire est colonisé par un peuple de peluches souvenirs

on les croirait décors vétustes et abandonnés, mais les vivifient
une brosse à dents
un flacon entamé
une fleur de do**he vert vif

d’autres jeux, dresser une typologie des oubliés :
les tapis de bain
les petites poubelles
les vide-poches"

https://loeildelaphotographie.com/fr/galerie-la-vina-severine-deluc-a-nu/

La Vina aura 9 ans demain, à cette occasion, deux artistes qui ont choisi la France pour la Liberté, et lui apportent le meilleur, joueront dans ce lieu dont la vocation est donner une voix à l'Âme des peuples à travers l'Art. Ils ont choisi Rûmî pour dire, jouer, chanter ce que l'Humanité a de plus beau à s'offrir.
Vendredi 8 décembre, 20h
concert et récital de musique persane: "Rûmî":
Delavar Iraninesab, setar
Naoto vava Kitayama, tabla,
12, 10 euros tarif réduit

Gardiens du Vivant - François Marie Périer - Interview par Louis Fouché François Marie Périer est artiste, photographe, penseur et activiste.Il réouvre les possibles par son action et son lieu à Grenoble. La Vina est une galerie ...

The Gatekeepers ISRAËL: "THE GATEKEEPERS", DOCUMENTAIRE CHOCBenjamin Netanyahou a perdu de sa superbe, à 16 jours des législatives, le premier ministre israélien est en pert...

Bonkour à tous, samedi à 17h, pour clôturer l'exposition d'André Thöni, une projection suivie d'un débat sur une l'action humanitaire au Népal de l'association Pahila Pahila Ko Asha. Venez nombreux!

https://www.bing.com/ck/a?!&&p=319eb5004984835dJmltdHM9MTY5NTY4NjQwMCZpZ3VpZD0zZGEyZjljMS0wOGJjLTY1NGMtMTQzMS1lYmEwMDlkNzY0ZTYmaW5zaWQ9NTE3NQ&ptn=3&hsh=3&fclid=3da2f9c1-08bc-654c-1431-eba009d764e6&psq=pahila+pahila+ko+asha&u=a1aHR0cHM6Ly9jZW50cmFpZGUtc2FudGVuZXBhbC5vcmcv&ntb=1

André Thöni: Contempler le Monde
du 11 au 30 septembre, vernissage musical le mardi 12 à 18 heures avec le guitariste Gilles Gasparotto.

André Thöni

Né en Tunisie en 1956. Entre au Théâtre National Populaire de Villeurbanne à 23 ans en qualité de peintre décorateur.

Il dirige l’atelier de décoration du TNP de 1994 à 2016 au service des créations de Roger Planchon, Georges Lavaudant, Jérôme Deschamps, Patrice Chéreau.

Etudie le bouddhisme à l’Université Shangpa Karma Ling en 2008.

Tout au long de sa carrière professionnelle il peint et après avoir quitté définitivement le théâtre se consacre à sa propre création.

Très inspiré par l’Asie et l’Orient, il fait plusieurs voyages en Inde, Népal, Ladakh et Maroc.

Ces derniers voyages ont inspiré cette exposition.
Contempler le Monde

Un vieux berger dans l'Atlas au Maroc mène ces brebis le long d'un oued asséché.
Poésie d'un monde antique qui s'efface doucement comme le lit de cette rivière.
Haut plateau du Changtang Himalaya. Les chants des nomades Changpa s'envolent avec les souhaits auspicieux des drapeaux à prières qui claquent dans l'air cristallin des sommets étincelants de glace. Là-haut, les pieds sur terre, la tête dans les étoiles entre forces cosmiques et telluriques, danse un chaman.
Il chante, tourne comme un astre, et frappe son tambour. Images galvaudées ? pittoresques ? exotiques ?
Sous cette superficielle apparence, je peux voir l'essentiel, la simple beauté d'un homme qui tourne avec le cosmos, c'est tout.
Point de mots, point d'images sont nécessaires pour percevoir l'indicible communion, le yoga. L’essentiel n'est-il pas invisible pour les yeux ?
Le tambour du chamane bat dans nos poitrines
Alors je ferme les yeux, contemplatif, ouvert, et libre de jugement.
C'est la plus douce et la plus belle façon de Contempler le Monde.

André THÖNI

https://setasixcordes.wixsite.com/gillesgasparotto

On lui doit bien ça!

Aidez-moi à faire avancer ce combat : Soutien au Pr Raoult contre les Médecins qui ont porté plainte contre lui à l’ordre des médecins Santé - Signez la pétition : Soutien au Pr Raoult contre les Médecins qui ont porté plainte contre lui à l’ordre des médecins